1.047.060 euros de virements envoyés en France 1.047.060 euros de virements dits illicites d'après RANARISON Tsilavo...

1.047.060 euros de virements dits illicites d’après RANARISON Tsilavo envoyés par CONNECTIC dans le compte bancaire de EMERGENT NETWORK – Partie 2

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Les magistrats malgaches ont violé les lois
  1. La société EMERGENT  a fait l’objet d’un contrôle fiscal par la Direction générale des impôts française au mois de mars 2013 qui valide la comptabilité de EMERGENT : 59.595 euros de bénéfice cumulé de 2009 à 2012.
  2. Le montant de 1.047.060 euros de virements doit se trouver dans le bilan de la société EMERGENT s’il n’y a pas de contrepartie car ce serait  » du passif non justifié  » pour l’administration fiscale française
  3. RANARISON Tsilavo lui même dans un email du 25 avril 2012 reconnaît que la société EMERGENT a envoyé à la société CONNECTIC des équipements pour 1.361.125 USD et 297.032 euros donc les virements de 1.047.060 euros ont une contrepartie
  4. En effet, une entreprise qui bénéficie d’une largesse de 1.047.060 euros ne peut pas avoir que 59.595 euros de bénéfice sans qu’il ait une contrepartie en charges de l’autre côté.
  5. Car EMERGENT a acheté également des matériels CISCO livrés à CONNECTIC Madagascar  chez WESTCON Africa pour 1.288.099 USD
  6. La douane française a constaté que EMERGENT NETWORK a envoyé des matériels à CONNECTIC pour 1.415.430 euros, les dossiers EX1 de sortie à la frontière établis par Midex à l’appui peuvent servir de preuve irréfutable
  7. Tout cette démonstration pour dire qu’il n’y a pas de délit d’abus de biens sociaux CAR il n’y a pas de préjudice
  8. Que RANARISON Tsilavo a tout fait pour mettre Solo en prison, de suite, jusqu’au prononcé du jugement, pour qu’il ne puisse pas se défendre.
  9. Les preuves que la justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle

La société EMERGENT  a fait l’objet d’un contrôle fiscal par la Direction générale des impôts française au mois de mars 2013 qui valide la comptabilité de EMERGENT : 59.595 euros de bénéfice cumulé de 2009 à 2012.

Le montant de 1.047.060 euros de virements doit se trouver dans le bilan de la société EMERGENT s’il n’y a pas de contrepartie car ce serait  » du passif non justifié  » pour l’administration fiscale française


RANARISON Tsilavo lui même dans un email du 25 avril 2012 reconnaît que la société EMERGENT a envoyé à la société CONNECTIC des équipements pour 1.361.125 USD et 297.032 euros donc les virements de 1.047.060 euros ont une contrepartie

RANARISON Tsilavo le plaignant reconnaît le 25 avril 2012 que la société EMERGENT a envoyé à la société CONNECTIC des matériels pour 1..361.125 USD et 297.032 euros.

En effet, une entreprise qui bénéficie d’une largesse de 1.047.060 euros ne peut pas avoir que 59.595 euros de bénéfice sans qu’il ait une contrepartie en charges de l’autre côté.

Car EMERGENT a acheté également des matériels CISCO livrés à CONNECTIC Madagascar  chez WESTCON Africa pour 1.288.099 USD

Les factures d’achat d’équipements CISCO auprès du revendeur WESTCON Africa, revendeur agréé CISCO, ainsi que les échanges de correspondance par la société française EMERGENT NETWORK d’après un schéma de travail tripartite (CONNECTIC – WESTCON AFRICA – EMERGENT NETWORK )établi par RANARISON tsilavo lui-même en mars 2009. RANARISON Tsilavo a lui même établi une facture d’IOS (logiciciel de CISCO) de 20.000 euros en mars 2009


La douane française a constaté que EMERGENT NETWORK a envoyé des matériels à CONNECTIC pour 1.415.430 euros, les dossiers EX1 de sortie à la frontière établis par Midex à l’appui peuvent servir de preuve irréfutable


Tout cette démonstration pour dire qu’il n’y a pas de délit d’abus de biens sociaux CAR il n’y a pas de préjudice

Que RANARISON Tsilavo a tout fait pour mettre Solo en prison, de suite, jusqu’au prononcé du jugement, pour qu’il ne puisse pas se défendre.

Les preuves que la justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle

RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON tsilavo en toile de fond 

Les mensonges de RANARISON Tsilavo prouvées par des preuves écrites

Les jugements rendus par les magistrats malgaches violant la loi au bénéfice de RANARISON Tsilavo

Les virements de 1.047.060 euros, objet de la plainte pour abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo, tous les ordres de virement signés par RANARISON Tsilavo, ont une contrepartie de 1.321.125 USD et 297.032 EUROS de matériels reçus par CONNECTIC d’après l’email du 25 avril 2012 de RANARISON Tsilavo lui-même

La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

L’arrêt de la Cour d’appel d’Antananarivo a violé l’article 2 du code de la concurrence et l’article 1598 du code civil malgache. Il a également traduit de travers une attestation pourtant claire de la société CISCO.

Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?

L’intérêt civil est dû au victime direct et personnel de l’infraction, la société CONNECTIC, et non à un simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

Le pouvoir souverain des juges du fond est applicable à condition que les décisions soient motivées et s’appuyent sur une base légale. Et comme le jugement du tribunal correctionnel est sans motivation tour en violant les lois malgaches tandis que l’arrêt de la Cour d’appel ne fait que violer la loi dans motivation.

Le jugement du tribunal de commerce du 27 mars 2019 présidée par RAKOTOARILALAINA Annick Rosa fait référence à l’article 301 de la LTGO concernant l’autorité de la chose jugée alors que c’est la première fois que RANARISON Tsilavo et la société CONNECTIC a affaire à la justice

RANARISON Tsilavo a signé la totalité des 76 virements de la société CONNECTIC vers la société française EMERGENT que RANARISON Tsilavo considère comme sans contrepartie dans sa plainte pour abus des biens sociaux contre son patron Solo

Les magistrats malgaches ont violé les lois malgaches dans leurs jugements qui favorisent RANARISON Tsilavo

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