Annick Rosa RAKOTARILALAINA confond Sieur Solo et la société CONNECTIC pour essayer de placer un jugement motivé par la force de la chose jugée des articles 301 et 302 de la LTGO

    Sieur Solo, gérant de la société CONNECTIC, une personne physique a été condamné sans motivation par le tribunal correctionnel d’Antananarivo le 15 décembre 2015 par une cour présidée par RAMBELO Volatsinana dans un jugement sans motivation.

    SUR L’ACTION PUBLIQUE
    Il résulte de preuve suffisante contre le prévenu A Solo-Niaina d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher :
    Qu’il échet de le déclarer coupable.
    Attendu cependant qu’étant délinquant primaire, le prévenu peut bénéficier des dispositions bienveillantes des articles 569 et suivants du code de procédure pénal
    Jugement rendu par Mme RAMBELO Volatsinana qui a présidé le Tribunal correctionnel d’Antananarivo le 8 décembre 2015

     

    Annick Rosa RAKOTOARILALAINA va innover dans sa manière de trouver une motivation dans un jugement en confondant Solo et la société CONNECTIC dans une affaire contre RANARISON Tsilavo. En effet la société CONNECTIC demande à RANARISON Tsilavo de rembourser les intérêts civils attribués par RAMBELO Volatsinana du Tribunal correctionnel d’Antananarivo puisque la victime directe et personnelle est la société CONNECTIC.

    L’entête de la décision du tribunal de commerce qui mentionne très bien que la plainte a été déposée par la société CONNECTIC et que le litige est entre la société CONNECTIC SARL et RANARISON Tsilavo NEXTHOPE :

    Il a été rendu le jugement suivant 
    ENTRE
    Société CONNECTIC SARL
    ET
    RANARISON Tsirinaiaina Tsilavo

     

    Dans l’extrait du jugement du tribunal de commerce d’Antananarivo du 21 mars 2019 qui évoque la notion de l’autorité de la chose jugée, on évoque  un différent déjà jugé par le tribunal correctionnel d’Antananarivo en décembre 2015 concernant une litige entre RANARISON Tsilavo NEXTHOPE et Solo.

    L’article 301 de la Loi sur les Théories Générales des Obligations édicte que l’autorité de la chose jugées s’attache, en tant que présomption légale, à toute décision judiciaire contentieuse de caractère définitif »
    Son article 302 dispose, en outre que l’autorité de la chose jugée impose de tenir comme ne pouvant être à nouveau discuté, le fait matériels ou la situation juridique que cette décision a déclaré établis ou qu’elle a refusé de reconnaître.
    Sieur Solo aurait dû soulever tous ces moyens de défense évoqués dans la présente procédure devant le tribunal correctionnel qui a statué légalement sur les intérêts civils au moment où la partie civile a demandé des allocations en dommages et intérêts.
    Il y a lieu en conséquence de déclarer toutes les demandes du requérant irrecevables.
    Extrait du jugement 059 du Tribunal de commerce d’Antananarivo du 21 mars 2019 présidé par Annick Rosa RAKOTOARILALAINA

    On est donc allé cherché ce jugement du 15 décembre 2015 pour savoir les différents  protagonistes, puisqu’une société ne peut pas être condamnée pour abus de biens sociaux.

    MINISTERE PUBLIC ET
    RANARISON Tsiriniaina Tsilavo
    Partie civile
    Contre
    Solo
    Prévenu d’abus de confiance

    Récapitulons,

    sur le jugement rendu par Annick Rosa RAKOTOARILALAINA, magistrat malgache, le 21 mars 2019, c’est bien écrit

    Il a été rendu le jugement suivant 
    ENTRE
    Société CONNECTIC SARL
    ET
    RANARISON Tsirinaiaina Tsilavo

    sur le jugement rendu par RAMBELO Volatsinana, le 15 décembre 2015, sans aucune motivation , c’est bien noté

    RANARISON Tsiriniaina Tsilavo
    Partie civile
    Contre
    Solo
    Prévenu d’abus de confiance

     

    RANARISON Tsiriniaina Tsilavo est partie prenante dans les deux affaires par contre en décembre 2015, il a eu affaire avec Solo et au mois de mars 2019, la partie adverse est la société CONNECTIC.

    Annick Rosa RAKOTOARILALAINA, magistrat malgache, doit à tout prix motiver son jugement d’irrecevabilité  du 21 mars 2019 dans un procès opposant la société CONNECTIC à RANARISON Tsilavo NEXTHOPE, simple associé de la société CONNECTIC.

    Comme il a été démontré auparavant, c’est la PREMIERE Fois que la société CONNECTIC et RANARISON Tsilavo NEXTHOPE, simple associé de la société CONNECTIC, ont affaire à la justice à Madagascar

    Et pourtant  Annick Rosa RAKOTOARILALAINA  va se référer aux articles 301 et 302 de la Loi sur les Théories Générales des Obligations ayant trait à l’autorité de la chose jugée :

    L’article 301 de la Loi sur les Théories Générales des Obligations édicte que l’autorité de la chose jugées s’attache, en tant que présomption légale, à toute décision judiciaire contentieuse de caractère définitif »
    Son article 302 dispose, en outre que l’autorité de la chose jugée impose de tenir comme ne pouvant être à nouveau discuté, le fait matériels ou la situation juridique que cette décision a déclaré établis ou qu’elle a refusé de reconnaître.
    Sieur Solo aurait dû soulever tous ces moyens de défense évoqués dans la présente procédure devant le tribunal correctionnel qui a statué légalement sur les intérêts civils au moment où la partie civile a demandé des allocations en dommages et intérêts.
    Il y a lieu en conséquence de déclarer toutes les demandes du requérant irrecevables.
    Extrait du jugement 059 du Tribunal de commerce d’Antananarivo du 21 mars 2019 présidé par Annick Rosa RAKOTOARILALAINA

    Annick Rosa RAKOTOARILALAINA a oublié que dans son article 307, la Loi sur les Théories Générales des Obligations précise les conditions de validité de l’emploi des articles 301 et 302 de ladite loi.

    Art. 307 – Pour que l’autorité de la chose jugée puisse être invoquée contre la recevabilité de la nouvelle demande en justice, il faut :
    1. qu’il y ait, entre les deux demandes, identité d’objet c’est-à-dire que le même droit soit invoqué sur la même chose ou en vertu du même fait ;
    2. qu’il y ait identité de cause, c’est-à-dire que la nature juridique du droit invoqué soit la même quant à sa qualification ;
    3. qu’il y ait identité des parties, c’est-à-dire qu’elles figurent dans les deux instances en la même qualité juridique.

    Donc RAMBELO Volatsinana et Annick Rosa RAKOTOARILALAINA poursuivent un même combat pour rendre la Justice à Madagascar non crédible malgré l’injonction du Premier Ministre malgache NTSAY

    1 – La Loi 066-003 du 2 juillet 1966 concernant la théorie générale des obligations dont se réfère Annick Rosa RAKOTOARILALAINA.

     

    2 – le jugement rendu par le Tribunal correctionnel d’Antananarivo le 15 décembre 2015 qui condamne sans motivation Solo se contentant de dire qu’il résulte de preuve suffisante.

     

    3 – Le jugement rendu par Annick Rosa RAKOTOARILALAINA qui a confondu Solo et la société CONNECTIC dans sa quête de trouver à tout prix une motivation qui tient la route.

     

    Annick Rosa RAKOTOARILALAINA, magistrat malgache, doit à tout prix motiver son jugement d’irrecevabilité  du 21 mars 2019. Elle va donc se référer aux articles 301 et 302 de la Loi sur les Théories Générales des Obligations ayant trait à l’autorité de la chose jugée :

    L’article 301 de la Loi sur les Théories Générales des Obligations édicte que l’autorité de la chose jugées s’attache, en tant que présomption légale, à toute décision judiciaire contentieuse de caractère définitif »
    Son article 302 dispose, en outre que l’autorité de la chose jugée impose de tenir comme ne pouvant être à nouveau discuté, le fait matériels ou la situation juridique que cette décision a déclaré établis ou qu’elle a refusé de reconnaître.
    Sieur Solo aurait dû soulever tous ces moyens de défense évoqués dans la présente procédure devant le tribunal correctionnel qui a statué légalement sur les intérêts civils au moment où la partie civile a demandé des allocations en dommages et intérêts.
    Il y a lieu en conséquence de déclarer toutes les demandes du requérant irrecevables.
    Extrait du jugement 059 du Tribunal de commerce d’Antananarivo du 21 mars 2019 présidé par Annick Rosa RAKOTOARILALAINA

    Annick Rosa RAKOTOARILALAINA a oublié que dans son article 307, la Loi sur les Théories Générales des Obligations précise les conditions de validité de l’emploi des articles 301 et 302 de ladite loi.

    Art. 307 – Pour que l’autorité de la chose jugée puisse être invoquée contre la recevabilité de la nouvelle demande en justice, il faut :
    1. qu’il y ait, entre les deux demandes, identité d’objet c’est-à-dire que le même droit soit invoqué sur la même chose ou en vertu du même fait ;
    2. qu’il y ait identité de cause, c’est-à-dire que la nature juridique du droit invoqué soit la même quant à sa qualification ;
    3. qu’il y ait identité des parties, c’est-à-dire qu’elles figurent dans les deux instances en la même qualité juridique.
    Article 307 de la Loi sur les Théories Générales des Obligations

     

    Prenons l’alinéa 3 de ladite loi, c’est bien écrit qu’il faut que dans les deux affaires une identité identique des parties c’est-à-dire qu’elles figurent dans les deux instances en la même qualité juridique.

    C’est Solo, gérant de la société CONNECTIC, qui est la partie prenante dans la plainte de RANARISON Tsilavo NEXTHOPE.  La société CONNECTIC n’est pas partie prenante et est totalement étrangère dans le jugement du 15 décembre 2015 du tribunal correctionnel d’Antananarivo dont se réfère Annick Rosa RAKOTOARILALAINA, magistrat malgache.

    Soyons sérieux !

    Dans cette affaire jugée le 21 mars 2019, c’est la société CONNECTIC qui est la plaignante ou la requérante et non Sieur Solo. Sieur Solo n’a rien à voir dans cette plainte contre RANARISON Tsilavo NEXTHOPE.

    Donc Annick Rosa RAKOTOARILALAINA évoque l’autorité  de la chose jugée d’une affaire qui a été plaidée à Madagascar au tribunal correctionnel le 15 décembre 2015 sur un litige entre RANARISON Tsilavo NEXTHOPE et Solo.

    Il ne peut pas donc y avoir d’autorité de chose jugée entre un litige entre la société CONNECTIC et Sieur RANARISON Tsilavo NEXTHOPE. puisque la société CONNECTIC n’est pas partie prenante dans cette affaire.

    Annick Rosa RAKOTOARILALAINA a tout simplement confondu la société CONNECTIC qui a une personnalité morale et Sieur Solo, gérant de la société CONNECTIC dans sa quête de motivation avec un semblant de base juridique.

     

    1 – L’entête de la décision du tribunal de commerce qui mentionne très bien que la plainte a été déposée par la société CONNECTIC et que le litige est entre la société CONNECTIC SARL et RANARISON Tsilavo NEXTHOPE :

    Il a été rendu le jugement suivant 
    ENTRE
    Société CONNECTIC SARL
    ET
    RANARISON Tsirinaiaina Tsilavo

    2 – L’extrait du jugement du tribunal correctionnel du 21 mars 2019 qui évoque la notion de l’autorité de la chose jugée concernant un différent déjà jugé par le tribunal correctionnel en décembre 2015 concernant une litige entre RANARISON Tsilavo NEXTHOPE et Solo.

    3 – En aucun moment, RANARISON Tsilavo NEXTHOPE, dans sa plainte du 20 juillet 2015, ne porte plainte contre la société CONNECTIC comme le précise la conclusion de la plainte déposée par RANARISON Tsilavo NEXTHOPE.

    Que devant tous ces faits, le plaignant, étant associé de la société, est fondée à porter plainte à l’encontre du nommé Solo  pour fraude, détournement et recel de biens sociaux, escroquerie, faux et usage de faux, faits visés et punis respectivement par les articles 929, 930 et 931 relatifs aux infractions à la gérance, à l’administration et à la direction des sociétés de la loi 2003-036 sur les sociétés commerciales du 30 janvier 2004 ainsi que des articles 405, 150 et suivants du code pénal malgache
    C’est pourquoi, le plaignant porte plainte contre sieur Solo domicilié au 64 Rue Pasteur Rabary Ankadivato Antananarivo pour fraude, détournement et recel des biens sociaux , escroquerie faux et usage de faux , faits prévus et punis par les articles 929, 930 et 931 relatifs aux infractions à la gérance, à l’administration et à la direction des sociétés de la loi 2003-036 sur les sociétés commerciales du 30 janvier 2004 ainsi que des articles 405, 150 et suivants du code pénal malgache et sollicite son arrestation.
    Le plaignant se constitue partie civile et fixera ses dommages et intérêts à I’ audience.
    Plainte pour abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo du 20 juillet 2015 contre Solo et non la société CONNECTIC

     

    4 – Le Loi 066-003 du 2 juillet 1966 concernant la théorie générale des obligations dont se réfère Annick Rosa RAKOTOARILALAINA.

     

    5 – Le jugement rendu par Annick Rosa RAKOTOARILALAINA le 21 Mars 2019

     

     

    6 – La plainte avec demande d’arrestation de RANARISON Tsilavo du 20 juillet 2015 qui est explicite en désignant nommément Solo et non la société CONNECTIC.

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